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Après la déclaration de la guerre le 4 août 1914 il fut bientôt évident qu’il ne restait rien entre de larges étendues du nord de la France et l’ennemi. Plusieurs s’enfuirent devant l’avance de l’ennemi.

et le 5 septembre1914 (d’après un plan de la route retenu par Maria Eugénie Dubois et reproduit de Contribution à
l’histoire du village de Gouzeaucourt par Lucien Defawe et Jean-Luc Gibot)
Beaucoup des résidents de Gouzeaucourt aussi ont quitté leurs maisons et leurs fermes et se sont échappés.
Il n’y avait aucun plan d’évacuation ni moyens de subsistance. Il était difficile de trouver un logement pour la nuit. 300 villageois environ se sont enfuis jusqu’à Abbeville où les ponts avaient été détruits pour empêcher les Allemands d’avancer. En rentrant au village en septembre ils ont dû demander la permission de leurs conquérants pour retourner chez eux.
Gouzeaucourt, ainsi que les villages aux alentours, ont souffert une occupation très sévère. “Elle marque l’arrêt de la vie normale pour la population civile.”
Marie de Gouzeaucourt dans Contribution à l’histoire du village de Gouzeaucourt
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Réquisition
Il fallait tout sacrifier à l’armée - provisions, animaux de ferme, voitures et machines. On fouillait les maisons à fond pour noter ce qui pouvait servir, normalement sans paiement.

Blog.defawe.com/documents-Gouzeaucourt
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Évacuation
Début 1917 les Allemands ont préparé un retrait tactique jusqu’à une nouvelle ligne défensive ----- la ligne Hindenburg. Un ‘tactique de la terre brûlée’ ne laisserait rien pour soutenir les armées alliées qui avançaient, et la population civile avait été évacuée de force en avance.

Picture from l’historial de Péronne – German soldiers’ photo albums
Chariots de bœuf en usage ici, mais principalement tirée par des chevaux. Qu’il fallait nourrir et abreuver les chevaux souvent dicté où les personnes évacuées sont allés et la vitesse à laquelle elles peuvent se déplacer. De même, il contraint la cavalerie dans les deux armées.
L'évacuation commença village par village en automne 1916 et continua jusqu’au printemps 1917. Le 21 février 1917 on dit aux résidents de Gouzeaucourt de se rassembler au champ Biquette d’où ils furent transportés par char à bœufs vers Villiers-Guislain et puis par le train et à pied jusqu’à Beauvois-en-Cambrésis.
Dans cette image: Chariots de bœuf en usage ici, mais principalement tirée par des chevaux. Qu’il fallait nourrir et abreuver les chevaux souvent dicté où les personnes évacuées sont allés et la vitesse à laquelle elles peuvent se déplacer. De même, il contraint la cavalerie dans les deux armées.